Saturday, March 31, 2012
Friday, March 30, 2012
Thursday, March 29, 2012
Wednesday, March 28, 2012
Tuesday, March 27, 2012
Saturday, March 24, 2012
Friday, March 23, 2012
Thursday, March 22, 2012
Nuon Chea ‘controlled’ nation: Duch | KRTalk | The Phnom Penh Post - Cambodia's Newspaper of Record
Khmer Rouge: Nuon Chea ‘controlled’ nation: Duch | KRTalk |
Wednesday, March 21, 2012
Tuesday, March 20, 2012
Monday, March 19, 2012
China President to visit Cambodia
Email from Dy Kareth:
Hu Jintao sera le premier président chinois à venir dans un pays d'Asie du sud-est. De plus, sa visite de trois jours au Cambodge devrait être un événement "historique" pour les deux pays.
Mais, Obama aurait prévu de venir aussi.
DK
Hu Jintao assistera au Sommet sur la sécurité nucléaire, au 4ème
sommet des BRICS et visitera le Cambodge
2012-03-19
23:03:00 cri
Le porte-parole du ministère
chinois des Affaires étrangères Hong Lei a annoncé lundi que le président
chinois Hu Jintao assistera au Sommet sur la sécurité nucléaire qui se tiendra
à Séoul du 26 au 27 mars.
Hu Jintao assistera également du
28 au 29 mars au 4ème Sommet des BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine et Afrique
du Sud) et effectuera une
visite d'État au Cambodge du 30 mars au 2 avril.
Le président chinois effectuera
ces voyages sur l'invitation du président de la République de Corée Lee
Myung-bak, du Premier ministre indien Manmohan Singh et du roi du Cambodge
Norodom Sinhamoni, a ajouté M. Hong
Le Sommet sur la sécurité
nucléaire à Séoul devrait être centré sur la promotion de la coopération
internationale en matière de sécurité nucléaire, a indiqué M.Hong.
Lors du Sommet, M. Hu présentera
en détail les efforts déployés par la
Chine dans le domaine de la sécurité nucléaire, a poursuivi
M.Hong.
D'après le porte-parole, M. Hu
échangera lors du Sommet des BRICS des points de vue avec les dirigeants des
pays membres du BRICS sur les problèmes relatifs à l'économie, aux finances et
au développement, ainsi que sur des questions majeures d'intérêt commun.
Lors de sa visite au Cambodge, le président Hu s'entretiendra avec les
dirigeants cambodgiens sur l'approfondissement des relations entre les deux
pays et la
promotion de la coopération entre la
Chine et l'Association des Nations de l'Asie du Sud-est
(ASEAN).
Sunday, March 18, 2012
March 18: SFC
This day a group of Khmer people decided to form a civic organization named:
Solidarite pour the Sauvetage du Cambodia ou SPC
Solidarity for the Salvation of Cambodia ou SFC
សាមគ្គីដើម្បីសង្គ្រោះកម្ពុជា សាមគ្គីដើម្បីខេមរះសង្គ្រោះ ស ដ ខ
Mission: to honor the work of the March 18, 1970 people.
Solidarite pour the Sauvetage du Cambodia ou SPC
Solidarity for the Salvation of Cambodia ou SFC
សាមគ្គីដើម្បីសង្គ្រោះកម្ពុជា សាមគ្គីដើម្បីខេមរះសង្គ្រោះ ស ដ ខ
Mission: to honor the work of the March 18, 1970 people.
March 18: Cambodia: Day of Remembrance
It was 1970, 42 years ago that in that day, the then Prince Norodom Sihanouk was deposed from his position as Head of State of Cambodia by the Kingdom's Congress. 92 Voices to Zero. This historic event led to Cambodia tragedy many years later.
Some opininon:
2
Some opininon:
18 Mars 1970
Sihanouk : un apprenti sorcier
C’est déjà le 43è anniversaire de la destitution de Norodom Sihanouk, Chef de l’État, par les
deux Chambres représentantes, Assemblée Nationale et le Conseil du Royaume, du
Cambodge le 18 mars 1970. Le gouvernement de sauvetage présidé par le général LON Nol
avait communiqué suite à l’annonce à l’unanimité du Parlement la déchéance de Norodom
Sihanouk de ses fonctions de Chef d’État
1 : « Suite à la crise politique provoquée par le
Prince Norodom Sihanouk, durant ces derniers jours, l’Assemblée Nationale et le Conseil du
Royaume, réunis en congrès, conformément à la Constitution du Royaume, ont retiré, à
l’unanimité des voix, leur confiance au Prince Norodom Sihanouk.
A partir de ce jour, 18 Mars 1970 à 13 h 00, le Prince Norodom Sihanouk cesse d’être Chef
de l’État du Cambodge, Son Excellence CHENG HENG, Président de l’Assemblée Nationale,
assumera les fonctions du Chef de l’État, jusqu’à l’élection d’un nouveau Chef de l’État
également suivant le texte de la Constitution du pays ».
Les motifs retenus par ces deux représentants de la Nation et du Royaume :
1. Haute trahison ;
2. Violation constante de la Constitution ;
3. Dilapidation des biens de l’État et de l’argent du peuple ;
4. Corruption ;
5. Atteinte au prestige et à la dignité nationale.
Suite à la résolution de ce deux représentants M. Cheng Heng, en tant que Chef de l’État,
avait adressé ce message à la Nation : « Chers compatriotes,
L’Assemblée Nationale et le Conseil du Royaume, réunis en congrès, ont retiré le 18 Mars
1970, à 13h00, conformément à la Constitution, à l’unanimité des voix, leur confiance au
Prince Norodom Sihanouk dans ses fonctions de Chef d’État.
Etant Président de l’Assemblée Nationale appelé à assurer les fonctions de Chef d’État
jusqu’à l’élection d’un nouveau Chef de l’État, j’ai le devoir de préciser solennellement à
cette occasion que le Cambodge adopte la même ligne politique, c’est-à-dire pour
l’indépendance, la neutralité et l’intégralité territoriale, que le Cambodge reconnaît et respecte
les traités et accords antérieurement conclus.
Je me permets enfin de lancer un appel à notre clergé des deux ordres, aux deux chefs de ces
derniers notamment, aux fonctionnaires, étudiants, à notre jeunesse et à notre population de
toutes les couches sociales, leur demandant de rester dans l’ordre pour le bonheur de notre
patrie. »
Après cet évènement non préparé, à ce moment le climat politique et social au Cambodge a
été calme, mais inquiet. Seulement à Pékin, Sihanouk avait beaucoup remué, poussé par les
dirigeant Nord-Vietnamiens, et déclaré la guerre à son propre pays, en soutenant l’agression
nord-vietnamienne contre le Cambodge, parce qu’ils lui avait promis de le ramener au
pouvoir en peu de temps.
Hélas ! il est revenu au pouvoir dans le chariot des Khmers Rouges, avec plus de sept cents
mille morts de guerre et plus de deux millions de morts sous le régime des Khmers Rouges et
des Khmers Vietminh (alias PPC).
1
Le résultat du vote :
·
Bulletins blancs (pour) : 0
·
Bulletins bleus (contre) : 92
·
Bulletins blancs rayés de bleu (abstention) : 0.
A la veille du 18 Mars 1970, personne n’avait pensé, ni préparé la destitution du Prince
Sihanouk, seulement des décisions de Sihanouk lui-même avait provoqué sa chute.
2
Au lieu de créer l’union sacrée contre la guerre d’agression nord-vietnamienne, les principaux
acteurs du 18 mars 1970, par leur ambition démesurée, proclamaient la République au
Cambodge le 9 octobre 1970 dans le seul but d’écarter du pouvoir la famille princière des
Norodom au profit des Sisowath. Cela donnait raison à l’ennemi qui accusait le Prince
Sisowath et d’autres d’avoir évincé Sihanouk dans le seul but de s’emparer du pouvoir. Ce qui
était une erreur politique fatale, aboutissant à la débâcle de la République.
Je pense qu’il faut prendre des leçons de notre histoire passée, récente ou lointaine, sinon on
tombe toujours dans le même erreur et abîme auxquels notre pays est entrain de faire face. Au
lieu de méditer sur l’histoire de notre pays, certains se prennent dans la même folie, en
pensant « qu’il n’y a qu’à faire-ci, qu’à faire-çà » et que cela suffira pour nous débarrasser du
pouvoir actuel et libérer notre pays de la domination nord-vietnamienne.
LIM Kim-Ya
2
Friday, March 16, 2012
Thursday, March 15, 2012
Wednesday, March 14, 2012
Tuesday, March 13, 2012
Monday, March 12, 2012
Sunday, March 11, 2012
Preah Vihear Conflict: Thaksin
HISTORY OF DISPUTED
PREAH VIHEAR AREA IS IN CAMBODIA'S FAVOUR, SAYS FORMER PRIME MINISTER
Bangkok Post
The dispute along the Thai-Cambodian
border in the Preah Vihear temple area could develop into a heated conflict
among Thais if the International Court of Justice's clarification on the case
does not favour Thailand, former prime minister Thaksin Shinawatra has warned.
The government, under the premiership of
his younger sister Yingluck, will have to work very hard to explain the facts
about the issue and Thailand's justification for its position, he said.
Thailand and Cambodia have been engaged in
a dispute over the sovereignty of 4.6 sq km around the temple in Si Sa Ket
province. The issue caused conflict between the countries when Cambodia applied
to register the temple as a world heritage site with Unesco in 2009.
The Thai government, then under the premiership
of the late Samak Sundaravej, supported Cambodia's application. That led to the
Cambodian government demanding to develop the temple and the 4.6 sq km area to
meet the World Heritage Commission's requirements.
However, the Samak government's move was
strongly opposed by certain groups, including the opposition Democrat Party.
Thaksin, in a recent interview with the
Bangkok Post, admitted that Noppadon Pattama, the foreign minister at that
time, should not have supported Cambodia's application.
''Frankly speaking, Thailand is at a
disadvantage in this case,'' he said.
He recalled an event more than a century
ago when the then minister of interior, Prince Damrong Rajanuparb, who was the
younger brother of King Rama V, visited Preah Vihear temple.
Thaksin said the prince was welcomed by
officials from France, which had colonised Cambodia, at the top of the hill
where the temple was located.
''The French raised the Cambodian national
flag on the hill and then presented a map to Prince Damrong Rajanuparb. Our
prince did not express any objection to the map. Instead, he asked for five
more copies of the map to be given to Thai authorities to use,'' Thaksin said.
Under international practice, if a country
disagrees with the border line in a map drawn by a neighbouring country, it
must object to the map and hold talks with the other country to settle the
disagreement.
But in this case the Thai side did not
object to the map presented by the French and that was interpreted as an
acceptance of the border details.
This led to Thailand losing out in a
dispute in 1962 when the International Court of Justice ruled in favour of
Cambodia over the Preah Vihear issue.
However, the court ruled only that the
temple was under the sovereignty of Cambodia without clarification.
''Therefore, sovereignty over the 4.6
square kilometre area near the temple was unclear,'' Thaksin said.
When he was prime minister, Thaksin said
the area was occupied by Cambodian vendors, so he held talks with the the
country's government, proposing that the area be declared a ''no man's land''
until a joint agreement over sovereignty was made.
Thaksin also recalled that he had offered
his Cambodian counterpart a joint development plan for the area to make it a
tourism spot.
But before an official treaty could be
signed, his government was toppled in the Sept 19, 2006 coup.
After then foreign minister Noppadon
Pattama provided his support to Cambodia's application, the next government,
led by the Democrat Party, highlighted the issue and that prompted the
Cambodian side to take the issue to the International Court of Justice, asking
for a clarification of its verdict in 1962, Thaksin said.
He said he was afraid the clarification
was not likely to be in Thailand's favour.
''And I fear that the issue could develop
into a deep rift among Thais as it concerns the country's sovereignty,''
Thaksin said.
He urged the government to work hard to
explain the facts of what happened in the past to the public so as to avoid
serious conflict.
Although his sister's government has
improved the relationship with Cambodia, it is unlikely to ask Phnom Penh to
withdraw the case from the International Court of Justice.
''If the Cambodian government agreed to
withdraw the case, then it would face a political crisis as the Cambodian
people would strongly oppose their government,'' Thaksin said.
He said the government could try to
prolong the case as long as possible if tensions rise again.
Friday, March 9, 2012
Thursday, March 8, 2012
Wednesday, March 7, 2012
Tuesday, March 6, 2012
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